Mois : juin 2016

Le Thillay… douce ville de mon enfance

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Le Thillay. Je suis arrivée dans cette ville à l’âge de 6 ans. Mes parents avaient choisi de quitter Aulnay-Sous-Bois pour ce village de 3500 habitants à l’époque. Paisible, tranquille, verdoyant, lieu idéal pour une famille qui souhaitait s’installer avec un enfant en bas âge. Ville pavillonnaire avec très peu d’appartements. Cela a changé, mais à l’époque nous avions un stade, un épicier, un félix potin (ouh le coup de vieux), une boulangerie, un boucher, un tabac, trois écoles primaires et une ou deux maternelles. Nous n’étions pas trente par classe comme celle de ma fille. Nous ne nous marchions pas dessus. (suite…)

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Mon coeur Mon amour

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Ca dégouline d’amour,
C’est beau mais c’est insupportable.
C’est un pudding bien lourd
De mots doux à chaque phrases : »Elle est bonne ta quiche, amour »
« Mon cœur, passe moi la salade »
Et ça se fait des mamours,
Se donne la becquée à table.Ce mélange de sentiments
Aromatisé aux fines herbes
Me fait sourire gentiment
Et finalement me donne la gerbe !

Paroles de la chanson de la chanteuse Anaïs, moi je ne déteste pas les couples qui me rappellent que je suis seule, puisque je ne suis pas seule, par contre la guimauve à profusion et en exhibition me barbe. J’avoue avoir du mal à entendre les couples finirent toutes leurs phrases par « mon amour, mon coeur, mon bébé, mon mamour…. » Et mon chéri par ci et mon chéri par là. Je trouve cela si privé que j’ai l’impression d’entrer dans leur intimité. Je ne suis pas démonstratrice en public, on ne m’entend jamais appelé ainsi Mister ni lui faire des déclarations d’amour écrites en public. Sûrement par pudeur. Je n’ai pas besoin d’étaler mes sentiments pour prouver aux autres ce que je ressens. Je peux paraître du coup froide ou disons distante mais c’est mon choix (merci Evelyne Thomas). J’ai l’impression parfois que les gens en font des caisses pour tenter de t’envoyer leur bonheur au visage. Pas la peine les gens, on est heureux aussi et sans avoir besoin de se lécher la pomme en permanence. Ca aussi… dans le métro, dans la rue… toute cette salive…

De même pour les gestes d’affection en public. Je ne me colle pas à Mister, je ne le tripote pas, je n’ai pas besoin d’être dans ses bras chez nos amis. C’est notre intimité. On m’a dit une fois, et j’ai trouvé cela très gonflé : « tu n’es pas très câline, tu fais comment au lit pour faire comprendre que tu as envie ? » J’ai du répondre un truc du genre « ça ne te regardes pas ». Et en effet, cela nous regarde. Je n’ai pas à expliquer pourquoi je suis proche dans certaines situations et dans d’autres pas. Tout comme je n’ai pas besoin d’écouter les pratiques intimes des uns et des autres dans des soirées. Je ne dis pas que je suis prude, je déconne beaucoup à ce sujet, mais justement tant que c’est pour déconner, rire, plaisanter, pas de soucis, mais les discussions sérieuses ne regardent que Mister et moi.

Peut-être c’est la maturité qui me rend pudique à ce sujet, mais j’ai toujours eu du mal avec la miellerie, la guimauve et le déballage public. Des petits mots doux à droite et à gauche c’est mignon mais quand ça dégouline, ça donne la gerbe (merci Anaïs)

Et vous, vous étalez votre vie intime en public ?

Jul’

 

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Le château de Breteuil : Direction les contes de Perrault

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Voici une belle découverte que nous avons fait en famille un jour où le ciel était bien bleu, le soleil brillait au point de porter des lunettes de soleil et les manches courtes étaient de mises. Bref, par un temps resplendissant, nous nous sommes dirigés au Château de Breteuil où nous avons découvert le parc essentiellement. Ce lieu se situe dans la vallée de Chevreuse, dans les Yvelines. Vous y découvrirez un château, des dépendances dans lesquelles se trouvent des scènes de contes de Perrault. Un parc de 75 hectares avec jardins, espaces de jeux, labyrinthe et pleins d’autres découvertes verdoyantes. (suite…)

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