En balade à Nantes

nantes

Nantes, voilà une ville que je voulais connaître d’un peu plus près. Rappelez-vous ma liste d’envie : l’une des villes à visiter pour une éventuelle installation : Nantes. Alors alors ??? C’est vraiment sympa, beaucoup moins stressant que chez nous les parisiens. Les gens prennent leur temps, les serveurs ont le sourire aux lèvres et sont aimables, bref ça nous a changé de nos mines grisailles quotidiennes. (suite…)

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Je suis reçue !

Vous vous souvenez que dans ma liste d’envie de mon article « Bonne Année !!! » je souhaitais réussir l’oral de mon concours ? Et bien, je check ! Je l’ai ! Youhouuuuuuuuuuuuuu !!!!! J’avais un peu bossé les écrits et beaucoup l’oral. J’appréhendais cet oral, je ne maîtrisais pas forcément toutes les connaissances demandées. En étant fonctionnaire je ne risquais pas de perdre mon boulot et de toute façon si je ne réussissais pas, au pire ou au mieux, je continuais de travailler à 20 minutes à pied de chez moi. C’était ma consolation.

Le jour de l’oral j’avais les jambes en coton, je n’arrivais pas à me décider sur ma tenue finale. Veste/chemise ou bien veste/petit top ? Pantalon noir ou jupe ? Talon ou bottines ? Finalement j’opte pour un pantalon vert canard avec des bottes noires hautes et un pull gris. C’est professionnel juste ce qu’il faut et je me sens à l’aise ainsi. Je pars deux heures avant l’heure de ma convocation. Vu les galères qu’il y a dans les transports en commun, je préfère être très en avance plutôt que de courir et stresser. L’épreuve se déroule à Levallois-Perret, je sors du métro, mon plan ratp en main, je trouve la rue et commence à guetter les numéros. Au fur et à mesure que j’avance, je croise des gens sapés en costard avec le téléphone à l’oreille qui utilisent des termes semblables à mon oral. Ok c’est bon je suis sur le bon chemin. Je croise ensuite une fille au téléphone en pleurs : « ça va pas du tout ça s’est mal passé (snif snif), c’était trop dur (snif snif) ». Ok je suis toujours sur le bon chemin mais avec une petite boule de panique maintenant. Je trouve le centre d’examen. Je rentre dans la salle d’attente, découvre les candidats, mes adversaires, les scrutes et surtout me bouche les oreilles pour ne pas entendre leurs révisions ou angoisses.

Tout à coup mon nom est appelé. Je fais partie d’une vague de 11 candidats guidés par une personne qui nous conduit dans un long long couloir, le couloir de la mort, et nous attribue à chacun une pièce dont la porte est fermée. Le temps de 15 secondes (interminables), nous faisons tous face à notre porte fermée, attendant que le jury décide de nous ouvrir.

Ça y est, la porte s’ouvre, je découvre un homme, la trentaine, costume gris avec des lunettes. A ses côtés, une femme, la trentaine, les yeux bleus qui me fixe sans cligner des yeux et qui ne s’arrêtera pas ainsi jusqu’à la moitié de mon oral. J’ai 5 minutes pour présenter mon parcours. Je tente de parler calmement mais j’ai la bouche un peu sèche, je garde le sourire et mon calme. Puis viennent les questions en rafale sur l’environnement dans lequel je travaille et les mises en situation pendant 20 minutes. La jeune femme me fixe constamment et saute sur la moindre phrase de ma part pour me poser des questions pointues. Dans le jury il y a toujours un méchant et un gentil. Elle n’était pas méchante mais dure. Elle essayait de me déstabiliser, je n’ai pas perdu pied.

L’oral terminé, je rentre chez moi en me disant que ce n’était pas si mal que ça. Mais pendant les deux semaines d’attente du résultat, je revoyais mon oral, le décortiquais et je me disais que ça ne serait pas pour cette année. Le 20 février 2015 à 13h15 j’apprends que je suis reçue ! J’ai envie de crier, j’ai la gorge serrée, l’oeil qui pique, une petite larme tomberait bien. J’envoie un texto en premier à Mister, qui est hyper fier et heureux pour nous, puis à ma mère, ma soeur et autres proches. Mes anciens collègues et chefs ont été adorables par leurs messages de félicitations.

Je suis vraiment contente de ce qu’il m’arrive. Je vais partir pour 8 mois de scolarité basée sur la fiscalité et la comptabilité (ça fait rêver hein), je vais redevenir une petite écolière avec cartable, trousse, calculette, agenda, goûter et ballon pour la récrée. Bien entendu je ne prête pas attention à toutes les phrases que j’ai pu entendre avant, pendant et après cet examen : « Mais si tu obtiens le concours tu vas perdre ton boulot à côté de chez toi ? Tu joues gros dis donc, c’est risqué. A ta place je ne l’aurais pas fait. Tu n’as pas peur ? Tu vas peut-être être mutée loin. Et ta scolarité, tu n’as pas peur ? C’est quand même loin. Tu vas faire comment avec tes gosses ? Bon bah c’est bien pour toi, tu es courageuse hein. » C’est rentré dans une oreille et c’est sorti par l’autre, les angoisses des uns et des autres ne seront pas les miennes. Merci à ceux qui sont juste heureux pour moi. En tout cas, j’ai juste une dernière chose à dire : JE SUIS REÇUE !!!!!!!

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Salsa Salsa

Un peu comme Obélix qui est tombé dans la marmite de potion magique quand il était petit, pour moi ce fut la danse. A 3 ans j’ai commencé par la danse classique, j’ai enchaîné parallèlement avec la danse modern’ jazz à 14 ans, et j’ai arrêté ces disciplines, à contre coeur à cause des études, à 23 ans.

Les cours de danse me manquaient profondément. Je sortais tous les week-ends en boîte de nuit car danser faisait, et fait, partie de ma vie. Un soir au Latina Café sur les Champs Élysées (ne chercher pas les jeunes, le lieu n’existe plus) je découvre des couples qui dansent divinement bien la salsa. Je les regarde avec admiration, je trouve cela complexe et très technique. Plus j’allais là-bas et plus mon désir de savoir danser la salsa grandissait. Cette danse n’était pas encore aussi tendance qu’aujourd’hui.

Une de mes copines me raconte qu’elle pratique cette danse et qu’il y a un club de sport à côté de chez nous où il y a des cours dispensés par un super prof. Ok je me lance ! Les débuts sont difficiles, de plus pour vraiment savoir danser il faut mettre les cours en pratique en soirées très régulièrement. J’ai passé mes premières soirées à marcher sur les pieds de mes partenaires, certes gênée mais je n’ai pas baissé les bras grâce à ma copine qui me poussait à sortir. Pendant 5 ans nous avons dansé dans tous les coins salsa de Paris. Nous commencions à former un groupe d’une quinzaine de personnes. Nous guettions les endroits qui ouvraient et les évènements salsa en tout genre. Nous ne nous quittions plus et sortions entre deux à trois fois par semaine. A chaque jour de la semaine correspondait un lieu où nous nous réunissions : le lundi et le mardi à La Pachanga (Paris 14ème), le jeudi Le Diablito Latino (Paris 11ème), le vendredi, samedi et dimanche à La Mandunga. Sans compter les soirées d’été à danser sur les quais de Seine. Une soirée sans salsa était une soirée sans intérêt.

Notre prof nous amenait partout avec lui et nous le suivions partout où il allait. Nous faisions des démonstrations de salsa dans les clubs de sport et celle qui restera gravée fut la démo que nous avions faite en plein centre commercial à Rosny-Sous- Bois. Que de bons moments passés pendant ces années.

Si vous avez envie d’apprendre la salsa en couple ou bien la salsa Suelta, je ne peux que vous conseiller d’apprendre avec Alex dit « Salserito » dans le milieu, c’est le meilleur ne cherchez pas ailleurs compris !!! Il donne des cours à la Pachanga. Une petite vidéo de lui en mode Suelta :

 Festival Step in Dance 2013 – Workshop de Alex salserito « Salsa cubaine » – www.salsa-guide.fr

Une autre danse latine que j’aime pratiquer, mais il faut absolument que je prenne des cours pour me perfectionner, c’est la Bachata. Je crois même que je préfère danser la Bachata que la salsa, non en fait j’en suis sûre. Regardez ci-dessous ce que cela donne :

Enfin, une autre danse qui m’attire énormément mais que je ne maîtrise pas du tout c’est la Kizomba ! Attention caliente ! Je vous présente un ami et prof de Kizomba Jay Kriminal, si vous souhaitez le retrouver ce sera au Barrio Latino et au Balajo :

Jay Kriminal et Alex Salserito sont des profs très pédagogues, sympathiques, ils sauront vous mettre à l’aise sans soucis. Alors si vous avez envie de vous lancer, n’hésitez pas ! Le site internet www.paris-afro-latino.com que j’affectionne vous permettra de découvrir les lieux pour apprendre à vous déhancher sur ces danses un peu partout en île de France. Et si vous avez des questions n’hésitez pas à me demander.

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