Non je ne vais pas vous chanter la chanson de Britney Spears rassurez-vous. Il y a quelques semaines je vous racontais que j’étais en pleine reconstruction et retrouvailles avec moi-même. J’avoue que cela fait du bien, je sens le changement chaque jour, je prends soin de moi, je prends plus le temps, je fais ce que j’ai envie de faire quand je peux le faire et je prends du recul. Du recul sur les contrariétés et sur tout ce qui me semble néfaste à mon bien être. Pour cela j’ai fait le choix de ne plus m’entourer de personnes toxiques ou tout du moins de ne plus subir des agissements et paroles blessantes.
Je ne laisse plus passer les personnes qui se permettent des jugements de valeur, les critiques gratuites et méchantes, les rabaissements et autres humiliations. Je ne cours plus après les gens qui finalement ne m’offre que très peu en retour. Je me suis faite une raison, avant cela me blessait, maintenant je m’en fiche complètement. Je suis définitivement passée à autre chose. J’assume complètement le fait de ne plus vouloir être celle qui prend toujours des nouvelles. Si on ne m’appelle pas je n’appelle plus. Je n’invite plus des personnes qui jugent ouvertement notre famille, notre couple et notre manière de vivre. J’ai fait le tri, pas le vide, juste le tri car l’essentiel est toujours là. Ceux et celles qui me prouvent que je peux toujours compter sur eux peu importe le moment du jour ou de la nuit. Ceux qui ont été là ces derniers temps quand j’étais dans le creux de la vague. Ceux avec qui la fête est toujours au rendez-vous. Ceux qui répondent à tes appels et qui ne t’envoies pas qu’un simple sms pour les grandes occasions. Je n’accepte plus les personnes qui me fréquente utile. Celles et ceux qui te contactent seulement pour avoir un renseignement et qui disparaissent pendant des mois. Les personnes autocentrées ne m’intéressent plus. J’ai gardé l’essentiel mais aussi les nouvelles rencontres qui sont sincères. Grâce à l’école, j’ai pu faire des rencontres super sympas et je compte bien prendre soin de ces moments.
Je vais bien et je ne veux plus qu’on me blesse.
Jul’
